Raibow a encore su trouver la bonne recette
Attention, phénomène !!
Joe Lynn Turner égale le nombre d’albums (soit 3) en tant que chanteur au sein de
Rainbow (Glover étant à son quatrième mais en tant que bassiste) en rejoignant ainsi le grand mais aussi « petit lutin » Ronnie
James Dio, qu’il ne dépassera point car remplacé par Doogie White après la dissolution en 1984 puis reformation en 1994.
Un album que j’apprécie particulièrement, très mélodique comme à l’accoutumée mais je ne pourrais jamais passer à 20 ! C’est vrai, on a beau avoir une osmose parfaite entre la guitare de Blackmore, le synthé de Rosenthal et la voix de
Joe Lynn Turner, la période « Dio » me rend trop nostalgique…
En tout cas, «
Can’t Let You Go » nous fait étrangement penser à la magnifique « Tarot Woman » de par sa longue et magnifique intro au synthé. De plus,
Rainbow nous montre tout son talent dans « Anybody There » et «
Snowman », deux très belles ballades instrumentales.
Pour conclure, nous sommes à la fin de la « troisième ère » et c’est encore un sans-faute dans la discographie de
Rainbow qui, après des changements de line-up qui se sont atténués mais qui n’ont jamais disparu, a su encore une fois trouvé la bonne recette !
19/20
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